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Chat-man

 

Chat-man

 

(Puzzle série 4 - pièces mobiles)

 

 

Bis repetita, mes oursins ! Avec une joie d’huile de foie de morue sur l’Olive de Popeye, nous avons déjà évoqué le Xénogenre qui regroupe celles et ceux qui s’identifient à différentes formes animales, végétales, surréalistes, absurdes, burlesques, dont cet homme qui a la certitude d’être un membre de l’espèce canine !

 

Ainsi, sous l’impulsion pandémique du Wokisme, nous allons frire, avant de rire un bon coup, au fond du wok de ce monde dément !

 

Prenons pour point de départ, Madame X, qui vit aux États-Unis — espace grand-guignolesque des libertés avec pour effigie une statue illuminée ! Sur le réseau X, la Dame des Amériques est remontée comme un coucou au beurre de cacahuète et son regard globulaire me paraît assez proche des œufs de Trump ou bien des hublots dépressurisés d’une caravelle, aux ailes marquées du sigle LSD (Loyale Servante Démoniaque), survolant des champs de coca…

 

Dans son post, la Serial Mother sort ses griffes pour défendre sa progéniture injustement rejetée par le Système Scolaire. En effet, son fils fait partie de l’espèce des chats-man, aussi, il se lèche en classe, comme se lavent les Black Panthers dans une fontaine party.

 

Cependant, son professeur — qui aurait dû recueillir des informations sur les mœurs grégaires des félins en milieu urbain — a eu la maladresse d’inviter Tigrou à stopper, séance tenante, ses singeries !

 

Demain, sans tomber au sein des abysses de l’extrémisme, nous imaginons, sur les bords sales linos de l’angoisse, qu’il sera donc aisé d’interdire le jus d’eau à sa copine, la petite sirène, et une sortie au cirque à son meilleur ami, Nemo !

 

Comprenez que cette maman lion manifeste une colère de cobra, car la chair de sa chair subit une stigmatisation intolérable : au pays des Transgenres, des Transhumains, des Xénogenrés, des Aliens, des Cookies, du Coca et du Ma queue Do, un bambin ne peut fièrement assumer son caractère de félidé. « Shit United States on the cheese-cake ! », nous dit le proverbe russe, alors que le temps n’est guère clément à cause du froid produit par le réchauffement climatique entropique !

 

Maintenant, vous voyez ce qui a pu être infligé à Freddy (Les Griffes de la nuit) dans les années 80, et à Ted Bundy, durant les seventies, qui avait la certitude d’être un Bounty, sous l’inspiration du film : « Un Bounty Killer à Trinita » ! Sentez l’aigre parfum des moqueries de camarades un peu bébêtes et l’obscurantisme mêlé de sectarisme des chargés de l’éducation correctrice qui poussent de gentils gamins au crime !

 

Entendez, derrière vos oreilles de pangolin, ce cri heurtant la savane étasunienne, à même de surpasser les hurlements fratricides des fanatiques du Super Bowl ; c’est celui d’une mère lynx qui désire protéger son rejeton du lynchage scolaire et des Brigades Anti-Félines qui scandent, avec horreur : « il y a des baffes qui se perdent ! ».

 

Et, là, guidé par le courage d’une huître perlière, dont je suis l’ambassadeur saxicole, je dis NO ! au massacre des bébés breloques, des baleines à brosse et des portées de chats-man ! Les États-Unis incarnent la Lie Bear Tea, le Pro Graisse, le légal E.T. et le Low Vœu, ce chant l’Unité des Couleurs d’Ânes-Thons ! Certes, même si cela ne veut rien dire, nous savons que, dans le Vide, il y a le Plein de croquettes saumonées, voire des boules de poils appartenant à ces chats pelés venus des étoiles grâce à la rotation quantique d’arbres à chatouilles !

 

Stéphane, le 8 janvier 2024

 

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