Vous connaissez l’appétence de l’Anachronique pour la Farce, le bon goût des choses pas simples, un poil épineux sur le râble laid
Après la transformation du ciel nord-américain en parquet de NBA...
De bon matin, je ne sais quelle mouche m’a piqué, quel moustique est venu me tatouer de burlesques bubons sur mon épiderme en papier glacé d’effroi...
Ô bucolique écrin loin d’Ubu Roi volcanique et des obus carnassiers du comique ukrainien tombant sur les cités...
Alors que L’Anachronique se demande encore s’il doit continuer à battre le pavé...
Fidèle à son habitude lascive qui lessive les idées reçues et les croyances crasses...
Alors que le soleil donne la même couleur aux irréductibles Covidiens, sous leur masque bleu délavé...
Durant ses vacances, L’Anachronique ne lâche pas la rampe, ni le guidon de son VTT, sauf pour planter sa tente...
Ainsi, dans mon habit d’Anachronique, je sonde les trous de vers...
Ainsi, ce jeu d’une société inversée m’offre de sirupeux mets sucrés, des pépites acidulées à neutraliser...