
Meta Cagoule
(Puzzle série 5 - pièces mobiles)
Oui ! Oui ! J’ai aussi vécu un drame et vous ne verrez pas mon témoignage, visage muré derrière une cagoule, sur le plateau d’argent sale de « Seth à Huître », afin
de ne pas heurter les humeurs des plus sensibles bigorneaux qui nous entourent !
Aujourd’hui, j’avoue, un peu con (Go !) comme une Anne en relation avec un bricolo du Brazzaville, que je fus dupé par un marabout sénégalais, un vieux fan de Bras
de Pitre, durant des vacances virtuelles, avec port du casque à pointe, sur la Côte d’Ivoire, à deux pas du cimetière des éléphantes du Parti Salafiste !
Par conséquent, le corps sage plongé dans un petit thriller suisse, sous la houlette de Milka Hell Jack Son, je vis, grâce à mon troisième œil, François Thermite
Errant — accompagné de ses deux ânes Noisette et Marron — faire une sortie squelettique secrète, à la « Skull and Bones », de son caveau, à pas de lycanthrope, avant d’exploser tels un sac à
crottins ou bien une aurore fécale, provoquant un effet papillon en relation avec le réveil instantané, sur la côte ouest des Zéta Reticuli unis, dans la coco câline fournie, d’un Kaiju : ô ce
grand monstre marin herbivore du Cameroun, armé jusqu’aux dents, qui pointait, avec son pistolet à eau, en mode Canard d’air ail, et son crayon laser, savamment dirigé, des maisons cossues ;
laissant les palmiers et les poubelles bleues en paix, en raison de son daltonisme précoce !
Alors, je découvris, derrière mes lunettes immersives, les frères Dalton nains — sous la direction d’Hécate cavalier de l’apocalypse now — pelotés par les mains
longilignes d’Aliens qui jouaient à sauton-mouton avec un troupeau d’humains — cons comme des manches, loin du comanche héros de la Native Amérique !
Soudain, un message d’erreur s’afficha, devant mes mirettes, et un sorcier africain apparut ; vêtu d’un boubou de jardinier, brouteur de gazon japonais, il me
demandait 800 000 sestrels (Dieu donné soit loué !), pour quitter cet escape game luciférien !
En proie à une terreur pandémique, l’aqueux entre les jambes, la seringue en berne, je décidai, sur un coup de tête, de lui filer le code de ma carte bancaire,
comme si j’eusse mis les doigts dans la prise d’un Gai Hermaphrodite Béninois…
Fatalement, des droïdes de la loi me retrouvèrent, sans gloire, sur la moquette d’une loge d’artiste, après une soirée coquine « Geipan dit Panda », un casque
Hermès, sous bras, avec du plomb dans l’aile de mon habit d’ange qui occultait ma peine et mes intimes convictions tournées vers la lutte gréco-romaine pour la libération de la Terre !
Dès lors, je préfère donner tout mon pognon au Momo Lézard de la Fin rance qui rend la France plus belle, à la vie à la mort !
Stéphane, le 18 janvier 2025
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